il a neigé sur yesterday
Comme je n'ai rien de palpitant à écrire ce soir, la batterie de mon appareil-photo m'ayant fait faux-bond le jour où je décidai d'aller photographier l'emplacement de mon futur appartement, j'en suis réduit à meubler honteusement l'espace avec d'autres photos, prises mardi 7 janvier au matin, sur mon lieu de travail.
Eh oui, je n'ai rien d'autre à faire. Mais avoir bravé vingt kilomètres de verglas sur des départementales de province même pas salées parce que le sel, les bouseux du coin ils s'en servent pour conserver la viande du cochon (parce qu'ils n'ont pas tous un congélateur, hein, c'est la France profonde!!), et joué à la roulette russe avec une Renault Clio défectueuse, ça me donne quand-même droit à quelques privilèges.
Cela dit, je me permets d'attirer votre attention sur le fait que PUTAIN J'ADORE CE JOB, surtout dans ces conditions météorologiques inhabituelles pour la région. Comme l'a dit un (rare) visiteur : "si y'avait eu des montagnes, on se s'rait cru en Savoie". Remarque pertinente s'il en est.
Bien entendu, en bon agent au service de l'Etat conscient de son rang dans la Société, j'ai consciencieusement bombardé mes collègues de boules de neige pendant une bonne partie de l'après-midi. Faut pas déconner, quand-même.
Voilà. Au prochain épisode, vous ferez connaissance avec ma voisine du dessus. Et j'essaierai d'avoir plus de précisions quant-au tour de poitrine de Christel.
Be seeing you.
Eh oui, je n'ai rien d'autre à faire. Mais avoir bravé vingt kilomètres de verglas sur des départementales de province même pas salées parce que le sel, les bouseux du coin ils s'en servent pour conserver la viande du cochon (parce qu'ils n'ont pas tous un congélateur, hein, c'est la France profonde!!), et joué à la roulette russe avec une Renault Clio défectueuse, ça me donne quand-même droit à quelques privilèges.
Cela dit, je me permets d'attirer votre attention sur le fait que PUTAIN J'ADORE CE JOB, surtout dans ces conditions météorologiques inhabituelles pour la région. Comme l'a dit un (rare) visiteur : "si y'avait eu des montagnes, on se s'rait cru en Savoie". Remarque pertinente s'il en est.
Bien entendu, en bon agent au service de l'Etat conscient de son rang dans la Société, j'ai consciencieusement bombardé mes collègues de boules de neige pendant une bonne partie de l'après-midi. Faut pas déconner, quand-même.
Voilà. Au prochain épisode, vous ferez connaissance avec ma voisine du dessus. Et j'essaierai d'avoir plus de précisions quant-au tour de poitrine de Christel.
Be seeing you.